vendredi 5 juillet 2013

Chronique #1 : Vanity Fair french touch

Le centenaire américain Vanity Fair prend un style plus frenchy. Michel Denisot donne naissance à un magazine qui mêle "information et glamour" . Et c'est la plus belle chose qui lui soit arrivé, professionnellement  parlant.


Alors, est ce que l'ex-présentateur du Grand Journal nous a convaincu ?
"le premier numéro" rime avec véritable défi. L'enjeu est de paraître original et accrocheur. 2 euros : prix de lancement. 266 : le nombre de pages. Scarlett Johansson : l'icone.

Les articles sont sérieux, approfondis et abordent les questions d'actualités sous un angle inattendu, "une distance".La rédaction ne perd pas son lecteur à travers les noms et les colonnes, elle le guide. Des notes de rappel surgissent à notre grand bonheur. Denisot a bien choisit ses mots : "un nouveau regard sur une actualité dont nous sommes souvent otages".
L'information traitée calmement, est définitivement plus claire. Les journalistes de Vanity Fair semblent l'avoir compris. La touche de glamour, quant à elle, se perçoit dans la conception même du magazine : la publicité, une marraine symbolisant l'ultra chic, une police propre et fine, des pages brillantes et des articles au penchant bling-bling.

BRILLANT DEHORS, MORDANT DEDANS 
 Il y a justement un équilibre parfait du fond et de la forme


Denisot a fait le choix de ne pas signer pour une nouvelle saison sur Canal +.  Et il a sûrement bien fait.



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